Partenaire de Bernard Stamm depuis 2003, l’entreprise Cheminées Poujoulat a écrit au fil des ans une histoire d’hommes authentique au service de la performance et du développement à long terme. Un engagement durable autour de valeurs communes. Aujourd’hui, le leader Européen des systèmes d’évacuation de fumée enfonce le clou et réaffirme plus fort encore son engagement dans le sponsoring voile, d’une part en confirmant la continuité de son soutien au skipper Suisse, et d’autre part en annonçant son engagement dans un nouveau projet à moyen terme, en l’occurrence celui des jeunes Marie Soler et Hugues Puimatto, en route pour les Jeux Olympiques de Tokyo 2020, en Nacra 17.

Renforcer sa position dans le sponsoring voile : voilà ce que souhaite, en ce début d’année 2016, Cheminées Poujoulat dont la quête est une quête de l’excellence en même temps que de performance. C’est ainsi, qu’en plus de continuer d’accompagner Bernard Stamm sur le circuit exigeant des Diam 24 dont l’épreuve phare n’est autre que le Tour de France à la Voile, le groupe a choisi de se lancer aux côtés de Marie Soler et Hugues Puimatto, deux jeunes Marseillais, dont l’objectif avoué est une qualification aux J.O. de Tokyo en 2020, en Nacra 17. Inspiré par l’élan des foils adoptés et développés sur la Coupe America, ce catamaran spectaculaire, pour l’heure monté sur foils courbes sans plans porteurs sur les safrans, sustente. Reste qu’à l’issue des Jeux de Rio 2016, cet été, le bateau va évoluer et véritablement voler. « C’est une série dans laquelle, aujourd’hui, la France excelle. Il est intéressant de s’engager pour garder ce niveau. De plus, ces machines sont indiscutablement les bateaux du futur. Ils sont la représentation de la performance et de l’innovation, deux valeurs que partage Cheminées Poujoulat. Cet engagement est très complémentaire et cohérent avec notre partenariat aux cotés de Bernard Stamm», explique Benoît Bodineau, le Directeur communication de l’entreprise. Une entreprise dont les différents programmes de transmission des savoirs et de formations de ses équipes concourent à bâtir une identité et une culture d’entreprise fortes dont l’esprit d’équipe, le partage et la transparence sont les maîtres-mots. Pas étonnant donc qu’elle voie dans ce nouveau partenariat une belle opportunité de favoriser le transfert de compétences entre les pratiques « solitaire » et « équipage », entre un « skipper expérimenté » et des « jeunes talents ».

Transfert de compétences… et d’expérience

« Il existe une vraie complémentarité entre nos deux univers, la course au large et la voile légère. Marie et Hugues sont extrêmement motivés et cela va insuffler une bonne dynamique de team. Nous avons beaucoup à apprendre les uns des autres », explique le navigateur Suisse, notamment vainqueur de l’Around Alone en 2002, de la Velux 5 Oceans en 2007 puis de la Barcelona World Race en 2015, qui a accepté avec plaisir de devenir le parrain du petit catamaran de Marie et Hugues qui ont, d’ores et déjà, montré de belles choses. La première a notamment décroché des titres de championne de France en Optimist puis en 420 avant de courir au plus haut niveau en 49er FX, tandis que le second s’est illustré en SL16, en Formule 18 puis en 49er avant de passer par la case entraîneur. « Aujourd’hui, nous nous lançons dans la préparation des Jeux Olympiques de 2020. Nous voulons prouver que nous sommes capables de pérenniser les résultats de l’équipe de France actuelle, à savoir quatre titres de champion du Monde. Notre objectif est d’atteindre le meilleur niveau international en trois ans et ainsi d’être en mesure de représenter la France à Tokyo. Nous savons qu’avec beaucoup de travail et de persévérance, nous pouvons y parvenir », expliquent les deux jeunes régatiers qui devraient prochainement intégrer le Centre National d’entraînement de Marseille mais aussi s’aligner au départ des Eurosaf Champions Sailing Cup de Palma (28 mars au 2 avril) et Medemblick (24 au 28 mai), de l’ISAF World Cup de Hyères (25 avril au 1er mai) puis du Championnat d’Europe de la série à Thessaloniki, en Grèce (6 au 24 septembre), histoire de prendre la mesure de ce qui les attend et de mettre en place le programme de préparation le plus structuré et le plus performant possible pour atteindre leur but.

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