Charles Caudrelier

Tu sens qu’elle est brutale, cette étape. On n’a pas attaqué le plus dur, mais déjà, les étapes précédentes semblent faciles…

Ca y est on est au près. Mais pas le près désagréable qui tape et qui mouille. Non, là, c’est du près tout en douceur avec de la houle de derrière.

De toutes façons, après le 24 dernières heures qu’on a passées, tout semble assez facile… Dans une certaine mesure. En revanche, ce qui risque d’être plus compliqué, c’est de rattraper nos collègues. On a rencontré quelques soucis de vitesse hier et surtout ce matin, sans que l’on puisse vraiment expliquer pourquoi. De là à dire que ça plombe un peu l’ambiance, ce serait exagéré, mais disons que c’est contrariant.

S’il y en a un parmi nous qui est contrarié plus que les autres, c’est Martin. Il s’est coincé la main lors d’une manœuvre ce matin. « Une maladresse qui n’aurait jamais du arriver », je le cite. Pour l’occasion, Eric Peron a endossé son rôle de médic, et me confie à la suite d’une courte intervention: « C’est Un bobo qui aurait pu être plus grave, mais qui va quand même lui demander quelques précautions supplémentaires pour éviter que ça ne s’aggrave. »

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