Quelle est « The place to be » du 18 au 26 novembre 2013 ?

Saint Barthélemy, sans aucun doute, puisque c’est à ce moment que plus de 60 coureurs en Formule 18 venant du monde entier, se réuniront pour participer à la Saint Barth Cata Cup, une régate alliant la convivialité des habitants de l’île et la compétition de haut-niveau, dans un cadre naturel exceptionnel.

Saint Barthélemy, découverte par Christophe Colomb en 1493 et baptisée du prénom de son frère Bartolomé fût successivement française, suédoise puis rétrocédée à la France en 1878 avant de devenir, en 2007, Collectivité Française d’Outre-mer. Des nombreuses plages de rêve se déploient sur seulement 24 km².

Quand on adore naviguer en Formule 18, impossible de trouver meilleur terrain de jeu. Jacopo Bracco, homme d’affaires italien installé aux Etats-Unis, y revient tous les ans avec toujours autant de plaisir «Cette régate est devenue le principal événement de ma saison sportive. J’ai l’ai découverte grâce à des amis qui m’en ont parlé comme étant le paradis : c’est le cas ! Ce qui m’a plu, dès le début, c’est le niveau relevé des compétiteurs, le côté très international du plateau et le cadre exceptionnel des régates. L’eau est chaude, les conditions météo idéales… »

Ce qui fait aussi le charme de cet endroit, et qui donne envie de revenir tous les ans, est sûrement l’accueil chaleureux des habitants. Jeff Lédée, originaire de Saint Barth, créateur de l’événement et coureur en Formule 18 : « A chaque fois qu’il y a une course ici, on s’aperçoit que la force de l’île, au-delà de sa beauté, est la qualité de son accueil : commerçants, restaurateurs et, plus généralement, toute la population se mobilisent à chaque arrivée de course ». Tout le monde prend part à la Saint Barth Cata Cup et pas moins de quatre-vingt partenaires locaux garantissent, au fil des années, la longévité de la course.

Des voileux du monde entier reviennent sur cette fantastique régate depuis six ans : Américains, Australiens, Canadiens, Italiens, Suisses, Français, Grecs, Hollandais, Belges, Autrichiens, Anglais, Espagnols, Suédois, Portoricains entre autres, figurent sur la liste des inscrits qui se joue à guichets fermés pour garantir la qualité d’accueil et les « liens d’amitié entre coureurs et organisation », comme le souligne Hélène Guilbaud, organisatrice de l’événement depuis son origine.

Sport de haut niveau et aussi vacances

Pour les coureurs, venir à Saint Barth c’est aussi une opportunité de prendre des vacances en famille. Jacopo Bracco, fidèle à la course depuis trois ans, y vient accompagné de sa femme et sa fille : « Elles adorent les plages de Saint Barth, le soleil, l’eau chaude, les restaurants… Nous allons souvent au Nikki Beach et au Guanahani pour boire un verre ou manger tranquillement sur la plage. Sinon on adore aussi les burgers chez Jojo Burger…. ».
L’activité économique de l’île s’est développée récemment mais les Saint-Barths ont su bien profiter du créneau grâce à leur savoir-faire.

Jeff Ledée qui y habite depuis sa naissance, a assisté à une partie de ce développement : « Il y a 40 ans, il n’y avait pas beaucoup de travail. Les principales activités étaient l’élevage, la pêche et le colportage. La plupart d’entre eux travaillait ailleurs, sur des îles à côté… Ces mêmes gens ont amené à Saint Barth leur savoir-faire et, si au début, l’île a été très fréquentée par les touristes américains, aujourd’hui ils viennent un peu du monde entier ».

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